Saint-Pierre-du-lac et le Val d'Authion |
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La Loire antique Image 1 Cliquez pour agrandir La construction des turcies |
SAINT-PIERRE-DU-LACDepuis que la Loire a
décidé
de couler vers l’atlantique, en marge du bassin parisien et
du massif
armoricain, elle a façonné la grande
vallée d’Anjou. Sous l’action
cumulée du
ruissellement des eaux affluentes, des mouvements de terrains
sous-jacents et
de vents froids violents, les vieux sédiments marins ont
été creusés réservant
ici quelques montilles (1) et bourrelets de rives,
recouverts
de sables. Au temps des gallo-romains,
une des voies romaines reliant Angers
(Juliomagus) à Tours (Casaroduno) passait non loin de ce
village qui s’appelait
alors Baissai ou Bessé - image 1
-. Retour au sommaire> |
La légende Arthuréenne Image 2 tirée de l'ouvrage réf. [BER] Cliquez pour agrandir |
Lancelot
est un des
chevaliers de la table ronde, dans la légende
arthuréenne - image 2
-. C’est aussi le valet
de tréfle de nos jeux de cartes. |
Une chapelle romane Image 3 Cliquez pour agrandir |
LA CHAPELLE SAINT-LEOBINAu cœur du village de
Saint-Pierre-du Lac, il y avait une chapelle
romane. L’image
du christ
qu’on
voyait posée au dessus de l’autel, pourrait bien
être le tableau du XVIIe
siècle qui se voit aujourd’hui dans la chapelle
d’Avrillé. Cette chapelle n’a pas
complétement disparu, aujourd’hui. Une maison
d’habitation a été construite sur
ses ruines. C’est le dernier signe d’un bourg qui a disparu, avec la paroisse, au début du XIXe siècle. L’église, le presbytère, le cimetière, le champ de foire, l’auberge, le moulin à vent ne sont même plus localisables.
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LA GRANDE LEVEE SUR LA LOIRERevenons à la Loire.Il a été dit qu’historiquement, la Vienne et la Loire ne se regroupaient qu’au droit de Saint-Maur, vis à vis de Beaufort [COL1]. Suite à une crue prodigieuse, au début du XIIe siècle, le cours des eaux aurait été modifié et la confluence remontée au droit de Candes. On aurait alors commencé la construction de la grande levée et l’Authion se serait engoufré dans l’ancien lit de la Loire. Cette question de la confluence a préoccupé les chercheurs. Les études les plus récentes concluent que la confluence de La Loire et de la Vienne est bien à Candes, depuis la période gallo-romaine, au moins [LEC]. Il faut néanmoins remarquer que le ruisseau de Lane, affluent de l’Authion, naît au pied de la levée de la Loire, à Saint-Michel-sur-Loire, près de Langeais. La construction de la levée, à cet endroit, a probablement isolé une dérivation du fleuve existant depuis quelques millénaires. Les premières levées attestées, en vallée d’Anjou, ont été construites à Chouzé, au XIe siècle, près de Bourgueil, en amont de la confluence Loire-Vienne. Au siècle suivant,Henri II, comte d’Anjou, engage la construction de sa prolongation, en aval, jusqu’à Saint-Martin-de-la-Place. Surtout, il fait installer des “ hôtes” chargés d’entretenir les digues et de les habiter moyennant quelques compensations , notamment, certaines exemptions de service dans l’armée du comte et de la plupart des droits féodaux. En concertation avec les grands seigneurs et abbés concernés, il rédige, vers 1166-1168, une charte pour en définir les modalités, pour lui et ses successeurs. La levée est prolongée ensuite, dans la basse vallée d’Anjou, jusqu’à Sorges, toujours sous l’impulsion des comtes d’Anjou qui encouragent les défrichements des forêts de Beaufort et de de Bellepoule. En 1365, l’endiguement est pratiquement continu, du port de Sorges à Saint-Patrice. La levée n’est pas alors au point de perfection qu’elle présente de nos jours. Les constructeurs de cette époque s’attachèrent d’abord à réunir les petites digues partielles qui existaient déjà et que les habitants avaient construites successivement pour garantir, autant que possible, leurs propriétés des inondations [TOU]. C’est ce qui explique les ruptures anguleuses de tracé que l’on constate aujourd’hui. Dans la basse vallée, une succession de hameaux et de bourgs s’installent sur la plateforme même de la levée. Après les Rosiers et la Marsaulaie, ce sont Saint-Clément des Levées, Saint-Mathurin, la Bohalle et la Daguenière. D’autres disparaissent ou sont déplacés. C’est ainsi que le vieux village de Saint-Martin –de-la-Place est enseveli sous les bancs de sable qui se déposent dans le nouveau chenal ligérien. Depuis, il se raconte que chaque nuit de Nöel, à Saint-Martin de la Place, sur les rives de la Loire, en tendant l’oreille, on entend les cloches de l’ancienne église sonner au fond du fleuve. De turcies en turcies, un chemin de rive commence à s’installer, tout au long de la Loire. En 1457, le roi René établit une levée au milieu de la forêt de Bellepoule et fait construire un pont sur l’Authion à Sorges. La communication se fait alors avec les Ponts-de-Cé et Angers. Louis XI, créant la poste aux chevaux avec ses routes et ses relais, développe cette voie pour assurer la liaison de Angers à Tours. En 1675, Mme de Sévigné regrette de ne pas avoir choisi de prendre cette route et d’avoir pris le bateau à Orléans. Elle écrit à sa fille « les eaux (de la Loire) sont si basses et je suis si souvent engravée que je regrette mon équipage, qui ne s’arrête point et qui va son train » [COL2]. C’est le début de la perte d’attractivité du « grand chemin Angevin » qui, pour relier ces deux villes, passait par Beaufort, Longué et Bourgueil. Beaufort s’éloigne alors des grandes voies de communication. On écrira plus tard « depuis que la Loire s’est éloignée de Beaufort, depuis que la construction de la levée a changé la direction de la route de Tours qui passait dans ses murs, cette ville est totalement déchue de son ancienne prospérité » [BOD]. La levée est renforcée, à la fin du XVIIe siècle, dans le cadre d’un plan général commandé par Colbert. La route de la levée est complète en 1732, d’Angers à Tours, après la reconstruction du pont de Sorges et la prolongation de la levée jusqu’au plateau de Trélazé- image 4. |
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L'AUTHION ET LA VALLEELa basse vallée d’Anjou, de Saint-Martin-de-la-place à Sorges, petit à petit séparée de la Loire par la grande levée, ne va pas cesser de prospérer.La forêt s’est installée partout, mais la vallée reste humide, submergée chaque année par les inondations d’automne, déposant des alluvions fertiles. Pendant tout le moyen-âge, l’exploitation de la vallée dépend d’une lutte de pouvoirs entre le Roi qui veut préserver la grande forêt pour y chasser, les abbayes (Saint-Florent et Saint-Maur), plutôt favorables aux défrichements, des comtes chasseurs ou aménageurs et les paysans qui s’installent progressivement. Ces derniers s’organisent, sous l’œil bienveillant du seigneur, pour exploiter collectivement, contre redevance, les pâturages inondables. C’est ainsi que commence l’histoire des communes ou « communaux » de Beaufort qui pourrait remonter au IXe siècle [COL] et perdure, pour partie, jusque vers 1970. La première référence connue daterait de 1148, avec le concession, par Geoffroy Plantagenêt, à Othon du Lac, pour lui et pour ses hommes, de 1200 arpents de frous, marais et dégats de la forêt, moitié en propre et moitié pour les bestiaux des habitants [FOL1]. La question des « communaux » et de leurs règlements, extrêmement complexe, a fait l’objet de nombreuses études et mémoires. Cette complexité a plutôt servi les habitants qui se sont battus pendant des siècles pour conserver leurs droits. Les Beaufortais retiennent principalement la charte signée, le 2 mai 1471, par Jeanne de Laval, avec le titre de « Institucion et ordonnance touchant les herbages de Beaufort ». Une transcription de cette charte est accessible en cliquant sur le lien suivant : charte. Les paysans vont façonner le paysage de la vallée, dont les terres constituent le comté de Beaufort, à partir du 7 juin 1344. Ils défrichent et se partagent, sans véritables conflits, les terres assainies. Ils y établissent leur habitation. Ils découpent les parcelles à cultiver, perpendiculairement aux cours d’eau en réservant les dépressions latérales aux landes et aux prairies, en grignotant sans cesse sur la forêt. En 1685, la quantité de communaux est évaluée à 5476 arpents. Avec le temps, la culture devient presque intensive. Jehan de Bourdigné écrit, vers 1529, que les terres y sont cultivées « tous les ans sans leur donner aucun repos ou intermission » [DIO]. Au XVIIIe siècle, diverses sources confirment la taille modeste des exploitations, la variété des cultures et l’absence de jachère grâce à des sols abondamment fumés, ce qui s’expliquait par la possession d’un nombre prodigieux de bêtes de toutes espèces nourries sur les espaces collectifs et laissant de grandes quantité de déjections [FOL2]. Tessier du Mottay (5) écrivait en 1799 « le fief de Beaufort s’étend sur un longueur de sept lieues , sur le terrain le plus riche, le plus habité et peut-être le plus morcelé en propriétés particulières qu’il y ait dans le royaume ». Les paysans de la vallée ont lutté jusqu’à la Révolution pour s’opposer à l’Etat qui voulait qualifier les terres communes de domaniales, pour en concéder ensuite certaines. Ils s’opposeront notamment, en 1763, et avec succès aux entreprises des sieurs Turbilly et Faribault, sur des projets de telles concessions. Le 1er août 1767, la grande direction du Conseil d’Etat du Roi rend un arrêt qui « maintient les usagers du comté de Beaufort dans la propriété et possession des communes de ce comté, pour en jouir à perpétuité, par indivision et comme par le passé … ». Tout va bien, sauf que le val d’Authion s’envase. L’eau y circule lentement. L’exploitation intensive des cours d’eau, pour le transport des bois, le rouissage du chanvre et les pescheries fait proliférer les installations qui créent des obstacles à l’écoulement des eaux. S’y ajoute, le reflux périodique des eaux de la Loire. Déjà en 1651, un arrêt du Conseil a ordonné le curage de l’Authion. A partir du XVIIIe siècle, dans la vallée d’Anjou, les grands travaux ne sont plus ceux de la levée « protectrice » mais le curement, l’élargissement et le redressement de l’Authion, ainsi que l’assèchement de sa vallée. |
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Un roi aux grands pieds |
LA MESURE DES CHOSESProtagoras, un philosophe grec du temps de Périclès (Ve siècle avant JC) a affirmé dans un de ses traités « de toutes les choses, la mesure est l’homme : de celles qui sont, du fait qu’elles sont ; de celles qui ne sont pas, du fait qu’elles ne sont pas » .Platon, autre philosophe, puis l’architecte Vitruve et le dessinateur Léonard de Vinci, se sont inspirés de cette parole, de portée très générale. C’est ainsi que l’homme s’est d’abord servi de son propre corps, dont les proportions sont en harmonie avec le cosmos, pour mesurer les éléments physiques qui l’entourent. Pour les longueurs, parmi les références les plus courantes, il y avait le pouce, le pied et la toise. La toise est la longueur que l’on mesure entre le bout des doigts, en étendant les bras à l’horizontale, à moins que ce ne soit la brasse des marins. Pour voyager, il faut une base plus grande. Une lieue est la distance que peut marcher un homme ou un cheval au pas pendant une heure. Le problème est qu’il y a des hommes grands et des petits. Pour commercer, il faut s’entendre sur le pied de référence et donner des équivalences entre les éléments. Il faut un systême de mesure. Celui du Roi de France remonterait à Charlemagne ou à Charles le Chauve. Le pied du Roi se partageait en douze pouces et, il fallait six pieds pour faire une toise. Une toise étalon était matérialisée sur un mur du Châtelet. Pour les distances, à partir de 1674, la lieue des ponts et chaussées était équivalente à deux milles toises. Pour les surfaces, l’agriculteur de la vallée se repérait sur la surface qu’il pouvait ensemencer avec un boisseau, sorte de seau en bois, plein de grains. Cette surface était appelée la boisselée. Avec douze boisseaux, il ensemençait un arpent. Comme les terres, suivant les régions ou les époques, n’avaient pas le même rendement de production, à une quantité de semence pouvait correspondre des surfaces différentes. La référence était strictement locale. Les tentatives pour un systême unifié furent nombreuses. En août 1793, enfin, la Convention institue provisoirement le systême métrique décimal. Il est officialisé en 1799, mais il faut attendre 1840 pour une mise en pratique quasi définitive. En 1962, un systême international de mesure, reprenant le dispositif métrique français, est adopté . Ce qui est dit ci-dessus est particulièrement simplificateur. Plusieurs ouvrages et nombre de sites web développent ce sujet. Retenons que la lecture des mesures inscrites dans les documents anciens et la transformation dans les unités actuelles reste délicate, d’autant plus que le calcul décimal n’existait pas. C’est souvent affaire de spécialiste. Si l’on veut néanmoins quelques indications, on notera que : - le pied du Roi fait presque 32,5 cm - la toise du Roi fait presque 1,95 mètre ; - l’arpent de la vallée vaut 65, 93 ares ; - la lieue des ponts-et-chaussées fait à peu près 3,90 kilomètre. Remarquons qu'en 1950, plus de cent cinquante ans après l’installation du systême métrique, les modes d’exploitation ayant peu changé, l’arpent et la boisselée étaient encore utilisés par les agriculteurs de la vallée. De toutes choses, la mesure reste l’homme. |
Un canal de navigation Image 5 Cliquez pour agrandir Lancement des études |
LES
PROJETS DU XVIIIe
SIECLE
Le 18
novembre 1753, les
habitants de la paroisse de Beaufort sont réunis au sujet du
dessèchement des
marais de la vallée d’Anjou et du projet
d’un
nouveau canal pour la navigation
depuis Bourgueil jusqu’à Sorges. |
Un projet plus simple |
LA VALLEE : HEUREUX PAYSLe rapport du comte d’Essuiles reste un moment en instance. Il semble que les officiers municipaux de Beaufort aient traîné pour le publier.Le projet a pu paraître d’un coût trop élevé, la charge financière étant imputée aux habitants et communautés. D’ailleurs, en 1786, un projet est déposé par le sieur Morel, pour répondre à la question de Monsieur frère du Roi, comte de Beaufort [FOL1] « quels estoient les moyens les plus simples et les moins dispendieux d’empêcher les débordements de l’Authion, la stagnation de ses eaux et même de rendre cette rivière navigable dans une partie de son cours ». L’année suivante, une opération de bornage et d’arpentage est lancée sur la forêt de Beaufort. C’est Louis Béritault de la Sablonnière, ingénieur arpenteur, avocat au siège royal, qui la réalise. L’opération consiste à délimiter l’emprise de l’Authion, y compris les servitudes de chantier et de marche-pied et l’usage du droit de pêche. On calcule aussi la superficie des iles, ilots, boires, atterrissements … Le document est arrêté le 23 décembre 1788. Nous sommes tout près de la fin de l’ancien régime et des bouleversements juridiques qui ont suivi. Le grand projet reste en l’état, les suivants aussi. Il faudra attendre la mise en place de la loi du 16 septembre 1807, sur le dessèchement des marais, pour réveiller les projets. Le 24 novembre 1807, une commission provisoire est créée, puis une commission syndicale permanente, nommée « Communauté des marais de l’Authion », formée de cinq membres choisis par le Préfet parmi les maires et délégués des communes. Quelques projets plus tard et encore, beaucoup de réticences, la canalisation de l’Authion est enfin entreprise mais, pour nous, cela fait l’objet de la fiche à suivre: l'Authion aménagé. Entre-temps, le comte Dessuile a fait disparaître tout ce qui restait de la forêt de Beaufort, pour en exploiter le sol. Les prairies communes ont, pour leur part, résisté. Dans une énergique pétition adressée le 21 septembre 1790, à l’assemblée nationale, les seizes paroisses du comté défendent le maintien de l’état de choses traditionnel. Elles disent en substance « dans les pays peu peuplés, il peut être avantageux de partager les landes communes entre les particuliers qui en usent pour les faire mettre en culture. Mais les communes de la vallée devraient être réparties entre des usagers si nombreux que la part revenant à chacun d’eux serait trop petite pour être utilisable. De plus, le nombre de fossés et de haies qu’il faudrait créer pour délimiter les parcelles individuelles entraînerait la perte d’une grande partie de terrain. Ce serait ruiner cet heureux pays que de morceler les gras paturages où se nourrissent en foule les bestiaux qui fécondent ses terres … ». Heureuse vallée, en cette année 1790. Retour
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Notes | |
(1
) les montilles sont des buttes recouvertes de sable, hors
d’atteinte de la
montée des eaux (2) la table de Peutinger est une carte schématique des voies de l’empire romain ; Konrad Peutinger assura au XVIe siècle la publication d’une reproduction ancienne (3) les turcies sont des petites digues discontinues en terre, élevées aux points d’irruption des courants de débordement (4) jean de Bourdigné (vers 1480-Angers 1547) est le premier historien de l’Anjou (5) Tessier du Mottay est ( ? ) receveur du comté de Beaufort (6) Pierre Nicolle de Maisonneuve est conseiller du Roi, juge civil criminel des eaux et forêts en la gruerie royale de Beaufort (7) Charles Haran de la Barre est avocat en parlement, conseiller du Roi (8) c’est aujourd’hui le pont-rouge (9) Jean-François de Barendiery-Montmayeur, comte d'Essuile (1718-? ), agronome, administrateur des domaines particuliers du Roi |
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RéférencesBibliographie[BER] BERTHELOT, Anne, Arthur et la table ronde- La force d’une légende, Gallimard, 1996[BOD] BODIN, J. F., Recherches sur l’Anjou et ses monuments, 1821 [COL1] COLLECTIF, Mémoire pour les habitants des 14 communes de l'ancien comté vers 1820 [COL2] COLLECTIF, A hue et à dia histoire des relais et routes de Poste en Anjou, Cheminements, 2005 [DEN] DENAIS, Joseph, Monographie de Notre-Dame de Beaufort-en-vallée, 1874 [DIO] DION, Roger, Le Val de Loire. Etude de géograhie régionale, Arrault, 1934 [FOL1] FOLLAIN, Antoine, PLEINCHENE, Katia, Les communaux du comté de Beaufort-en-vallée (Anjou), du XVe au XIXe siècle, voir le site Internet d'Antoine Follain accessible ci-dessous [FOL2] FOLLAIN, Antoine, PLEINCHENE, Katia, Règlements pour les communaux de beaufort-en-vallée d’Anjou, du XVe au XVIIIe siècle, ibid [GOD] GODARD-FAULTRIER, V., Beaufort, Vallée et Château , vers 1860 [LEC] LECONTE, Jean-Paul, Turcies et levées dans la haute vallée d’Anjou-Archives d’Anjou n° 4 –2000 [LOI] COLLECTIF, Loire, Associations : Confluences-Maison de Loire en Anjou, 2006 [MEN] MENAGE, Gilles, Histoire de Sablé, 1683 [POR] PORT, Célestin, Dictionnaire historique de maine-et-Loire [TOU] TOUCHARD-DELAFOSSE, G. , Le Maine-et-Loire, Les éditions du bastion, 1851 Site internet Antoine
Follain
, professeur d'histoire à l'université d'Angers puis
Strasbourg, a dirigé ,entre-autres, plusieurs travaux
d'étudiants sur les thèmes des "communaux".
EntretiensCette fiche a été élaborée suite à des entretiens personnels, notamment avec : Germaine Bernier, Noël Chapelet, Laurent Coudercy, Solange et Jean-marie de la Maisonneuve et Katia Pleinchène.Il convient de les en remercier. |
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Date de mise à jour: 4 décembre 2012 Jean-Marie Schio |